Les dernières séances de l’année, c’était fin juin et début juillet.
L’été, c’est deux mois sans séance ! Même s’il est possible de pratiquer par soi-même, beaucoup (voire tous), préfèrent les séances en groupe, animées, plutôt que s’exercer de manière autonome.
Et, si certains ont choisi de faire des exercices régulièrement ou ponctuellement, d’autres se sont accordés à un rythme estival sans faire de sophrologie où d’autres techniques vues pendant les cours.
Le “Il faut que…” s’est envolé pendant l’été. Comme quoi, le “Il faut que…” ça ne marche pas !
Quelques soient les attitudes adoptées cet été, la grande majorité a retrouvé une forte connexion avec soi dès la première séance de la reprise. Avec des expressions telles que : “Ah oui, c’est vrai, ça fait ça ! ” , puis un sentiment de joie, voire de gratitude, jusqu’aux larmes pour quelques uns.
Au fur et à mesure de l’année, les bienfaits s’installent et sont intégrés comme quelque chose d’habituel, si bien qu’on s’habitue sans forcément s’en rendre compte. C’est souvent lorsqu’il y a des pauses de plusieurs semaines qu’il y a une prise de conscience de ce que procure la sophrologie. Que ça aille bien où moins bien, ça va toujours mieux avec une pratique régulière.
De plus, des études démontrent que les effets d’une technique visant à améliorer notre harmonie (santé, corps, énergie, émotions), sont décuplés lorsque la pratique se fait en groupe.
A mon sens, des séances en groupes et des séances autonomes sont complémentaires. En dehors du fait de pratiquer, la régularité permet d’acquérir et d’ancrer de nouveaux comportements de manière consciente ou inconsciente. Ces nouveaux comportements (par exemple relâcher les épaules, porter attention à la respiration…) favorisent un meilleur équilibre psychocorporel. Plus d’info sur la sophro ← Cliquez ici !
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